En cas de crise, comme nous avons pu le voir pour le coronavirus par exemple. Mais ce sera le cas également pour toutes les crises futures, il semble y avoir deux points de vue très différents sur ce qu’il faut faire.
« Restez calme et ne paniquez pas » contre « Nous devons faire des réserves de tout et n’importe quoi… ! »
La crise du corona, nous a donc appris ca… les stocks de PQ disparaissent des rayons des supermarchés beaucoup trop vite. Les gens se battent littéralement pour 1 rouleau de papier toilette.
Mais que se passe-t-il quand ils les ont utilisés ? Ce type de stock est un article à usage unique et ensuite il disparaît. Vous n’avez pas besoin de faire ça.
Vous devez seulement stocker assez de nourriture pour vous et votre famille pour un mois. Il n’est pas nécessaire d’en avoir plus.
Ayez un mois d’approvisionnement en cas de confinement potentiel.
Les paquets de papier toilette XXL de 50 rouleaux devraient être plus que suffisants pour deux personnes pendant un mois.
Alors pourquoi en acheter plus ?
Ce n’est pas nécessaire, laissez-en un peu pour les autres et ayez un peu de bon sens !
Avant l’arrivée sur le marché des couches jetables, les bébés portaient des couches en coton maintenues par une épingle à linge sur les côtés.
Ensuite, plutôt que de les jeter à la poubelle, maman les ramassait, les faisait bouillir et les lavait, et c’était reparti.
Pas cher, efficace et écologique !
Tu peux faire la même chose…
Si vous voulez, ajoutez un peu de lessive en poudre pour qu’ils sentent vraiment frais.
En cas de blocage dû à une crise, vous disposez d’une réserve inépuisable de « papier toilette ».
Vous pouvez tirer le maximum des couches en coton présentées ci-dessus, car un paquet de 12, 60×60 cm, vous donnera 48 chiffons si la feuille est coupée en quatre.
Achetez quatre paquets, coupez les feuilles en quatre et vous avez plus qu’assez pour deux personnes indéfiniment.
Cela vous coûtera 40 € au total pour un approvisionnement sans fin plutôt que 30 € pour un paquet de papier toilette à jeter dans les toilettes jusqu’à ce qu’il n’y en ait plus…